
D’un mensonge déconcertant à l’autre rappels élémentaires pour les bonnes âmes qui voudraient s’accommoder du capitalisme
Éditeur : Agone
1999 | 163 p. | 0,00 €
Ce texte prend à contre-courant les manières de voir communément admises et nie ce que la plupart affirment, à savoir que la chute du mur de Berlin et la fin de l’urss marquent la fin du communisme : il dénonce les manipulations langagières qui travestissent les représentations du totalitarisme soviétique et des démocraties occidentales au point d’inhiber le désir de changer radicalement la vie.
Les ex-pays socialistes n’étaient pas socialistes parce qu’ils étaient fondamentalement capitalistes. Cette thèse susceptible de choquer les âmes sensibles habituées à des vérités conventionnelles plus reposantes pour l’esprit n’a en soi rien de révolutionnaire. Nous prétendons simplement contribuer à la réhabilitation des programmes utopiques radicaux auxquels la puissance des sociétés établies interdit de voir le jour.