Madame Bonaparte
Éditeur : Éd. Syllepse
2004 | 79 p. | 8,00 €
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Bien au-delà du fantastique, dans un présent permanent, à Malmaison vit Madame Bonaparte. Plus connue sous le nom (fallacieux) de Joséphine de Beauharnais. Présence obsédante. Moralement injustifiable. Mais que faire contre la particule enivrante, ses frous-frous et parfums, quand mêlant à loisir la chair à la poésie et la poésie au politique sans répit, ici, là, partout, ailleurs elle tourne, tourne ? La vision du poète se confronte de façon rugueuse avec l ?image d ?un personnage célèbre, Joséphine de Beauharnais. Elle plutôt qu’une autre : liberté du poète. Confrontation avec une icône pour
Que serait l’objectivité de l’Histoire sans celle de l’imaginaire ? La question nous est ici posée d’un bout à l’autre de cette évocation d’une présence obsédante par un poète qui se plait à mêler de façon rugueuse « la chair à la poésie et la poésie au politique sans répit ». La poésie pour corrompre l’Histoire par la violence de l’imaginaire