Nada
Éditeur : Gallimard
1999 | 239 p. | 6,30 €
Comme le dit très justement le gendarme Poustacrouille, qui participa à la tuerie finale, « tendre la joue c’est bien joli », mais que faire quand on a en face de soi « des gens qui veulent tout détruire ? » On crache sur le pays, la famille, l’autorité, non mais des fois ! Quelle engeance, ces anars ! Et quelle idée aussi de croire qu’on va tout révolutionner en enlevant l’ambassadeur des États-Unis à Paris !